The Dion brothers
Jack Starrett, 1974
Durée 92 minutes
- Stacy Keach : Calvin
- Frederic Forrest : Rut
- Margot Kidder : Margue
- Barry Primus : Tony
- Richard Romanus : Carlo
- Denny Miller : Rex
Durée 92 minutes
Un soir, Danielle Breton ramène un homme chez elle.
Au matin, l’homme est poignardé alors qu’une journaliste, Grace Collier, assiste au meurtre de sa fenêtre.
Grace prévient la police mais aucun cadavre n’est découvert.
Convaincue de ce qu’elle a vu, elle décide de mener l’enquête en ignorant que Danielle Breton a en réalité une sœur jumelle, Dominique.
Durée 93 minutes
Pendant la période de Noël, dans une résidence étudiante de filles, quelques-unes des pensionnaires ne partent pas rejoindre leurs familles respectives pour les fêtes et restent sur place.
Lors d’une soirée, de sordides appels téléphoniques anonymes troublent leur quiétude. Si elles préfèrent ne pas les prendre au sérieux dans un premier temps, une des leurs disparait mystérieusement, et le corps d’une adolescente est retrouvée non loin de là par la police.
Certaines des pensionnaires se mettent à la recherche de leur amie, mais pendant ce temps, dans la résidence, les cadavres s’empilent, et la police demeure extrêmement incompétente.
Alors que les étranges coups de fil perpétuent au beau milieu de ce remue-ménage, certaines des jeunes filles se retrouvent seules dans la résidence.
Durée 98 minutes
Black Christmas est très souvent reconnu étant comme le premier « vrai » Slasher. Même si le boogeyman de celui-ci ne tue pas principalement à l’arme blanche comme souvent dans le genre et ne porte pas de masque (mais l’on ne voit jamais son visage, toujours caché dans l’obscurité), il s’attaque à un groupe d’étudiants lors d’un événement spéciale du calendrier, et sa proie principale est une femme. En tout cas, ce film a directement influencé John Carpenter pour Halloween, La Nuit des Masques (notamment les plans subjectifs à travers les yeux du tueur) et Wes Craven pour Scream (le psychopathe harcelant ses victimes au téléphone avant de passer à l’acte). L’idée d’un tueur qui passe ses appels depuis l’habitation même de ses victimes fut également reprise par Fred Walton dans son Terreur sur la ligne (1979).
Amityville, banlieue de New York, . Dans une maison bourgeoise, un jeune homme, dans un accès de démence, tue à coups de fusil ses parents, ses frères et ses sœurs. À son procès, il affirme avoir été possédé par une voix lui ordonnant de tuer tous les siens.
Quelque temps plus tard, la maison est mise en vente à un prix défiant toute concurrence.
La famille Lutz l’achète, malgré la tragédie qui s’y est déroulée. Ils n’y resteront que vingt-huit jours alors que des phénomènes paranormaux se produisent.
Durée 117 minutes