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7 death in the cat’s eye

Antonio Margheriti, 1973

En Écosse, un meurtrier sévit dans le vieux château des MacGrieff, dont la demeure semble frappée d’une terrible malédiction, celle du « chat tueur. »

Corringa, nièce de la châtelaine Lady Mary, décide de mener sa propre enquête avec l’aide de son bizarre cousin James.

Durée 93 minutes

  • Jane Birkin : Corringa
  • Hiram Keller : Lord James MacGrieff
  • Françoise Christophe : Lady Mary MacGrieff
  • Venantino Venantini : le Père Robertson
  • Serge Gainsbourg : l’inspecteur de police
  • Anton Diffring : le docteur Franz
  • Doris Kunstmann : Suzanne
  • Dana Ghia : Lady Alicia

La vierge de Nuremberg

Antonio Margheriti, 1963

La vierge de nuremberg Margheriti_63Max Hunter retourne pour affaire en Allemagne au château de ses ancêtres, accompagné de sa femme Mary.

Une nuit Mary est réveillé par des cis, elle constate l’absence de son mari dans le lit conjugal et recherche dans le château l’origine des cris.

Elle se retrouve alors dans une dépendance du château, en fait un musée macabre qui expose des instruments de tortures du temps de l’inquisition.

S’approchant d’une vierge de Nuremberg elle s’aperçoit que du sang en coule, recueilli dans un seau. Elle ouvre la statue, y découvre un cadavre et perd connaissance.

Elle fera ensuite d’étrange rencontres, un valet balafré, une gouvernante pleine de suffisances, et un étrange promeneur qui dit s’intéresser aux jardins des chanteaux allemands.

Durée 83 minutes

  • Rossana Podestà (VF : Marcelle Lajeunesse ) : Mary Hunter
  • Georges Rivière (VF : Bernard Dheran) : Max Hunter
  • Christopher Lee (VF : Marcel Bozzuffi) : Erich
  • Jim Dolen (VF : Jean Claudio ) : John Selby
  • Lucile Saint-Simon : Une Victime
  • Luigi Severini (VF : René Fleur) : Le docteur
  • Anny Degli Uberti  : Frau Marta
  • Luciana Milone : Trude ,la servante
  • Mirko Valentin : Hunter père

Danse macabre

Antonio Margheriti et Sergio Corbucci, 1964

Danse macabre Margheriti_64Un journaliste veut interviewer Edgar Allan Poe, alors que ce dernier est en visite à Londres.

En rencontrant l’écrivain, il fait également la connaissance de Lord Blackwood : ce dernier fait avec lui le pari qu’il ne pourra passer un nuit dans son château de famille, dont nul n’est ressorti vivant depuis des années.

Le journaliste accepte le pari : une fois arrivé dans le château, il fait bientôt d’étranges rencontres, et doit affronter des situations de plus en plus terrifiantes.

Durée 87 minutes

  • Barbara Steele (V.F : Michèle Montel) : Elisabeth Blackwood
  • Georges Rivière (V.F : Michel Gudin) : Alan Foster
  • Margarete Robsahm (V.F : Jacqueline Ferriere) : Julia Alert
  • Henry Kruger (alias Arturo Dominici) (V.F : Raymond Loyer) : le docteur Carmus
  • Montgomery Glenn (alias Silvano Tranquilli) : Edgar Allan Poe
  • Sylvia Sorrent (alias Sylvia Sorrente) : Elsi Perkings

AUTOUR DU FILM

Antonio Margheriti fera un remake en couleur de son propre film en 1971, Les Fantômes de Hurlevent, dans lequel Michèle Mercier reprendra le rôle de Barbara Steele et Anthony Franciosa celui de Georges Rivière, avec Klaus Kinski dans le rôle d’Edgar Allan Poe.

Danse Macabre est un des films-phare de la carrière de l’actrice britannique Barbara Steele, révélée en 1960 par Le Masque du démon de Mario Bava et vedette à l’époque du cinéma d’horreur italien.

Le cinéaste et sa vedette renoueront avec le succès avec un autre film en noir et blanc, La Sorcière sanglante, réalisé la même année.

La chevauchée terrible

Antonio Margheriti, 1975

La chevauchée terrible Margheriti_75La petite ville de Sonora reçoit un chargement de 86 000 dollars.

Ce butin va bientôt provoquer une hécatombe sans précédent.

Plusieurs hommes, tous appâtés par l’argent tentent de s’en emparer : un chasseur de primes avide, une bande de voyous et… le shérif lui-même.

Durée 103 minutes

  • Jim Brown (VF : Jacques Degor) : Pike
  • Lee Van Cleef (VF : Jean-François Laley) : Kiefer
  • Fred Williamson (VF : Med Hondo) : Tyree
  • Catherine Spaak (VF : Brigitte Morisan) : Catherine
  • Jim Kelly : Kashtok
  • Barry Sullivan : Kane
  • Dana Andrews : Morgan

La brute, le colt et le karaté

Antonio Margheriti, 1974

La Brute le colt et le karaté Margheriti_74Un Américain nommé Dakota et un Chinois nommé Wang Ho Kian s’associent pour rechercher un trésor dont la carte est indiquée par les tatouages effectuées sur les fesses de 4 femmes.

Des bandits mexicains sanguinaires s’y intéressent aussi.

Durée 94 minutes

  • Lee Van Cleef: Dakota
  • Lo Lieh: Ho Chiang
  • Patty Shepard: Prostituta russa e la sua gemella
  • Femi Benussi: Prostituta italiana
  • Erika Blanc: Prostituta americana

Et le vent apporta la violence

Antonio Margheriti, 1970

Et le vent apporta la violence Margheriti_69Gary Hamilton purge une peine de dix ans au bagne.

Il est gracié et n’a qu’une idée en tête : se venger de la famille Acombar, qui l’a condamné pour un crime qu’il n’a pas commis.

Alors qu’une tempête sans précédent va secouer la région, Gary va faire resurgir le passé que les Acombar avaient bien enfoui.

Durée 96 minutes

  • Klaus Kinski: Gary Hamilton
  • Peter Carsten: Acombar
  • Marcella Michelangeli: Maria
  • Antonio Cantafora: Dick Acombar
  • Giuliano Raffaelli: Dottore
  • Guido Lollobrigida (come Lee Burton): Miguel Santamaria

Avec Django, la mort est là

Antonio Margheriti, 1968

Avec django la mort est là Margheriti_68Après s’être emparé d’un trésor, Django voit les membres de sa bande décimés par un mystérieux assassin.

Après plusieurs morts violentes, le périple de Django pour châtier les meurtriers se transforme en chemin de croix.

Durée 81 minutes

  • Richard Harrison : Django / Rocco
  • Claudio Camaso : Mendoza
  • Spela Rozin (pseudo : Sheyla Rosin) : Jane
  • Guido Lollobrigida (pseudo : Lee Burton)
  • Werner Pochath : Kid
  • Paolo Gozlino : Domingo (pseudo : Paul Lino)

AUTOUR DU FILM

  • Une partie des commentaires s’accorde pour dire que la scène finale dans les grottes qui est très proche du cinéma fantastique. En fait Antonio Margheriti aussi bien amateur que réalisateur de films fantastiques apportera ce genre de touche dans plusieurs de ses westerns.
  • Le nom du héros est Jocco dans la version italo-germanique et Rocco dans la version anglaise. En France les distributeurs profitant du fait que le film de Sergio Corbucci, Django réalisé en 1966 avait eu un certain succès, le présentèrent comme un fausse suite de ce dernier en modifiant le titre du film et le nom du héros. En réalité ces deux western-spaghettis sont de styles très différents.