Les cousins
Claude Chabrol, 1959
Durée 110 minutes
- Gérard Blain : Charles
- Jean-Claude Brialy : Paul
- Juliette Mayniel : Florence
- Claude Cerval : Jean dit : Clovis
- Geneviève Cluny : Geneviève
- Guy Decomble : le libraire
- Stéphane Audran : Françoise
Durée 110 minutes
Durée 90 minutes, 1 saison, 4 épisodes
À la suite d’une soirée bien arrosée, Paul Wagner est attaqué par des voyous qui étranglent sa passagère et le blessent sérieusement à la tête.
Depuis, il souffre d’un traumatisme crânien dont il a du mal à se remettre et ne peut gérer pleinement son entreprise de négoce de champagne.
Christine Belling profite de la situation pour essayer de vendre l’entreprise, alors que Paul refuse.
Des meurtres sont commis : tout porte à croire que Paul est le coupable. Il se rapproche alors de Christine pour obtenir son soutien.
Mais elle est assassinée à son tour. Paul est évidemment le principal suspect aux yeux des enquêteurs.
Durée 105 minutes
Durée 110 minutes
Quatre vendeuses s’ennuient dans le petit magasin d’électro-ménager de Monsieur Belin. Le travail terminé, elles cherchent l’évasion :
Durée 92 minutes
Les héroïnes du film travaillent dans un magasin d’appareils électroménagers situé au 72, boulevard Beaumarchais (11e arrondissement de Paris), la « maison Belin anciennement Vainqueur ». L’immeuble est situé à l’angle d’un espace qui a reçu le nom de rue Scarron en 1979, espace qui comporte un escalier descendant vers la rue Amelot. Le magasin existe toujours en 2012 mais on y vend maintenant des scooters.
Elles déjeunent non loin de là dans un restaurant situé au 4, boulevard Beaumarchais, à l’emplacement actuel du cinéma MK2 Bastille.
Après avoir déjeuné la troupe visite la Ménagerie du Jardin des plantes (5e arrondissement de Paris) où le kagou a moins de succès que le tigre.
Ginette (Stéphane Audran) chante en cachette de ses collègues au Concert Pacra, music-hall situé au 10, boulevard Beaumarchais (sur le même trottoir que le magasin). Ce music-hall a disparu et l’immeuble a été détruit en 1972 pour y construire des habitations.
Frédérique, riche bourgeoise parisienne oisive et insouciante, remarque un jour une jeune fille bohème, Why, qui dessine des biches à la craie sur le pont des Arts.
Elle la séduit puis l’entraîne dans sa villa tropézienne. Elles y passent d’agréables moments, jusqu’au jour où Why tombe amoureuse d’un séduisant architecte, Paul Thomas.
Frédérique, dans un accès de jalousie incontrôlable, décide alors de séduire Paul.
Elle ne se doute pas encore que Why, délaissée de toutes parts, va finir par perdre petit à petit la raison.
Durée 99 minutes
Sophie (Sandrine Bonnaire) est engagée comme bonne à tout faire par un couple de bourgeois. Jeune femme timide et introvertie, elle est analphabète, mais le cache soigneusement car elle en a honte.
Elle se lie peu à peu avec Jeanne (Isabelle Huppert), la postière du bourg, une femme au passé trouble. Cette dernière voue une haine et une jalousie sans limite aux Lelièvre, les patrons de Sophie (Jean-Pierre Cassel et Jacqueline Bisset).
Jeanne hait tout autant leur fille, Melinda,(Virginie Ledoyen) malgré le service que celle-ci un jour lui rend quand sa voiture tombe en panne en pleine campagne. Progressivement Jeanne monte Sophie contre les Lelièvre.
Un jour, Melinda découvre par hasard l’analphabétisme de Sophie et lui propose son aide. Honteuse de son état, Sophie la menace afin qu’elle garde son secret, mais la jeune fille s’empresse de tout raconter à son père, qui décide de licencier la bonne.
Durée 111 minutes
Adaptation du roman L’Analphabète de Ruth Rendell, lui-même librement inspiré du fait divers célèbre qui vit les sœurs Papin assassiner leurs patronnes, ainsi que de la pièce de Jean Genet Les Bonnes.